Alcool :
oui vous pouvez dire non
UNE FOIS CONSOMMÉ, L’ALCOOL
N’EST PAS DIGÉRÉ ET PASSE
DIRECTEMENT DU TUBE
DIGESTIF AUX VAISSEAUX
SANGUINS. À L’ORIGINE
DE NOMBREUX TROUBLES
DE LA CONSCIENCE ET DU
COMPORTEMENT, L’ALCOOL
ENTRAINE DE NOMBREUSES
PATHOLOGIES : CANCERS
(BOUCHE, GORGE, ŒSOPHAGE...),
MALADIES DU FOIE (HÉPATITE,
CIRRHOSE) ET DU PANCRÉAS,
TROUBLES CARDIOVASCULAIRES
OU PSYCHIQUES (ANXIÉTÉ,
DÉPRESSION…).
Repères pour limiter les risques
L’Organisation Mondiale de la Santé a défini des repères
permettant de distinguer une consommation à faible
risque d’une consommation à risque plus élevé.
ATTENTION :
ce ne sont pas des niveaux de
consommation à atteindre, mais des maxima à ne pas
dépasser. Il faut savoir que pour les cancers, le risque
augmente dès un verre/jour.
Consommations régulières :
pas plus de 2 verres/jour en
moyenne pour les femmes, soit 14 verres/semaine et pas
plus de 3 verres/jour en moyenne pour les hommes, soit
21 verres/semaine.
Consommations occasionnelles :
pas plus de 4 verres en
une seule occasion.
Ivresse… en hausse chez les ados !
des collégiens (53 % des élèves de 6
e
et 83 % des élèves de 3
e
) ont déjà bu de
l’alcool au moins une fois dans leur vie.
Source : Inpes
des collégiens ont connu au
moins une ivresse alcoolique
au cours de leur vie.
70
%
16
,6 %
23
À NOTER :
L’alcoolémie commence à baisser
1 h après le dernier verre et il faut
compter 1 h 30 en moyenne pour
éliminer chaque verre d’alcool.
L’alcool a des effets immédiats,
le fonctionnement du cerveau
et le comportement sont
perturbés, entraînant
des risques
spécifiques.